Il y a deux règles différentes de type très différent une très simple, une plus aboutie et naturelle à la lecture, mais plus complexe pour l’écriture et à expliquer.
La règle simple
A minima, appliquer la règle suivante, je maintiens le e caduc s’il existe dans la graphie actuelle.
L’autre règle
Sinon pour éviter les confusions voici les règles suivantes.
La lettre e en finale note les e caducs après
- un n ou un m pour éviter de les confondre avec des voyelles nasalisées;
- les lettres pouvant être des finales courantes t, p, d, z
- d’autres comme le h, v, soit toujours pour éviter de les confondre avec des finales courantes nouvelle ou ancienne graphie, mais surtout pour éviter qu’une écriture ne serve à déformer la prononciation comme un passage de -v à -f ;
- deux consonnes différentes, comme par exemple tr, bl, br (ensemble, autre, nombre, paraitre), exception du -ct finale compact, strict, etc.;
- Après tous mots courts d’une seule syllabe : de, le, se, etc. ;
- Certaines finales courantes sont abrégées, cas du ique qui devient iq à l’exemple de coq et cinq ou les finales en l.
De manière générale, les e caducs maintenus (souvent en fait inutiles) sont notés pour ne pas perturber le passage de la graphie actuelle vers l’ortogrévsinte.
Une variante pour ne pas perturber le passage d’une écriture à l’autre est tolérée et consiste dans le fait de redoubler la consonne plutôt que de lui rajouter un e caduc final, ainsi elle permet de préférer omm à ome pour homme ou sèss à sèse pour cesse.